LES HOMMES
Parmi les hommes que jai jamais connu
Il naurait eu jamais des fantastiques
Si jnaurais pas du ętre interrompue
Par les banales socio emphatiques.
On sait jamais ce quil y a dedans
Jusquŕ le vrai dernier minute
Si on voit le monde sauf en cancans
Ou par des fatigués yeux de pute.
Disent-moi, vous, hommes de cette plančte
Sil y a encore de plus putain que ça :
Voir le monde juste comme un masque coquet,
Seulement pour ce quil nous plaisantera.
Et jen veux plus de vous, ça cest certain
Si cela va jamais se avouer
Mais je vais pour toujours, comme un crétin,
Dans limprobable, limpossible de chercher.
Cest pas comme ça je vais continuer de dire.
Męme si la vérité est plus cruelle.
Mais quoi importe ? Il sera pour toujours
Plus important le ręve que le réel.
Cest un blessement ou cest un gain, qui sait
Il nest męme pas aussi définitoire.
Pour repenser ma vie, recommencer,
Il nest pas ça mon destiné pouvoir.
Jen sait męme pas si cest le pouvoir
Ce que me lied ou qui me fait votive
Cest compliqué toujours den avoir
Une explication de vivre. Un motif
JE pense vous observer légocentrisme -
Une attitude unique, ŕ la moi
Qui me fait rire en perdre, masochisme,
Ou en gagnant, en pleures. Ce qui effroi.
Et, toi, un simple homme de cette plančte,
Je te comprends : toi, ten sait rien.
Donc quelle pourra y ętre ta casquette
Sauf celle de conquéreur
ça va bien !
Caroline
P.S. Asta scriam inainte sa ma conving de ceea ce spune bitek...